Cet été je suis parti à la découverte de la Podlachie (ou Podlasie), une région du nord-est de la Pologne. Ce fut pour Sam et moi l’occasion de tourner une vidéo mais surtout de découvrir la nature sauvage de cette partie du pays qui s’étend aussi sur une partie de la Biélorussie. Je t’invite via cet article à entrer dans ce monde incroyable et préservé en espérant qu’il te donne l’inspiration pour tes prochaines aventures…

Naissance du projet

Quand j’ai eu le projet de contacter l’Office du Tourisme National Polonais pour leur proposer de collaborer avec moi, je ne savais pas du tout vers quoi je pouvais aller en terme de région à découvrir ou de lieux à visiter. Pour être honnête, je ne connaissais pas du tout la Pologne et je n’y étais jamais allé. Piotr, mon ami blogueur et collègue dans le collectif Team Aventuriers m’avait pourtant déjà mis la puce à l’oreille sur la beauté et la diversité de son pays natal, mais je ne m’y était jamais vraiment intéressé. Et puis j’ai un jour visionné un documentaire sur le loup en Pologne, cela m’a donné une idée… J’ai donc contacté l’Office Polonais de Tourisme à Bruxelles pour leur demander si c’était envisageable d’aller tenter d’observer les loups en Pologne. J’avais en tête de me rendre dans un affut photographique et attendre l’animal, sans aucun autre but que celui de l’avoir en images. Oui le loup me fascine, je n’y peux rien.

Directement intéressés de collaborer avec moi, ils m’ont cependant conseillé d’oublier cette idée. Les affûts photographiques, bien que souvent gérés par des personnes responsables et amoureuses de la nature, n’est pas le genre de tourisme qu’ils souhaitent promouvoir en Pologne. Ils préfèreraient m’envoyer dans une région riche en patrimoine naturel et culturel et dont la biodiversité pourra me combler. Ils m’ont donc proposé de me rendre dans le Parc National de la Biebrza, le plus grand du pays…

© FOKUS POKUS PRODUCTION

Présentation & situation

Quelques mois plus tard et après plusieurs reports (satané Coronavirus), nous arrivons en Podlachie (ou Podlasie), dans le nord-est de la Pologne. Cette région historique de la Pologne est longée par la rivière Bierbza, donnant son nom au Biebrza National Park. Avec une superficie totale de presque 600 km², il est le plus vaste de Pologne et un des plus grands d’Europe… Créé en 1993, son objectif est de protéger les forêts, les prairies humides et les paysages de tourbières étendues de la vallée de la Biebrza. Depuis 1995, le parc est reconnu comme lieu d’importance internationale pour certaines espèces d’oiseaux aquatiques. Et 2004, il a été inscrit dans le réseau européen Natura 2000 qui vise à gérer et protéger les habitats et espèces d’intérêt communautaire.

Tout cela pour te dire que si nous sommes arrivés ici, ce n’est pas par hasard. Mais que sommes-nous vraiment venus faire ? L’idée est de découvrir la culture d’une région avec quelques visites mais aussi de tente d’observer des animaux sauvages dans leur milieu naturel. On peut en effet avoir la chance d’observer le loup, la loutre, le castor, divers rapaces rares en Europe, des centaines de variétés d’oiseaux dont la cigogne, et même l’élan, un des plus grand mammifères terrestres d’Europe !

Le nom Biebrza découle d’ailleurs
de l’ancien nom germanophone du castor
(biebr /bieber).

En cinq jours sur place, nous sommes cependant conscients qu’imaginer observer le loup dans son milieu naturel et sans l’aide d’affut (où on nourrit les animaux pour les attirer) est utopique. Ceci dit, nous avons cependant eu droit à une surprise durant le séjour (dont je te parle évidemment plus loin dans l’article).

Par contre, l’idée d’observer la loutre et plus particulièrement l’élan m’excite au plus haut point… Oui, il y a des élans sauvages en Europe et c’est en Pologne que cela se passe. L’élan (qu’on appelle « orignal » en Amérique du nord) est la plus grande des espèces de la famille des cervidés. Le poids de la femelle peut atteindre 350 kg et le mâle peut peser jusqu’à 600 kg ! Un beau bébé comme on dit… Du coup, si on peut avoir la chance d’en observer, nous serions vraiment ravis. Et puis tomber nez à nez avec un animal sauvage de cette taille (dans son milieu naturel), c’est toujours un moment unique…

© FOKUS POKUS PRODUCTION

Tels des chasseurs d’images en quête du cliché impossible,
nous faisons de ce mammifère impressionnant notre objectif de ce séjour…

Les temps forts

Ce n’est d’ailleurs pas notre guide Beata qui dira le contraire ! Excités par l’idée de rencontrer absolument l’animal, nous lui mettons sans le vouloir une petite pression pour qu’elle nous emmène dans des endroits propices. Amoureuse de sa région et passionnée par le monde ornithologique qu’elle nous présente avec talent, elle comprend en effet rapidement que nous sommes là pour tenter de voir l’élan. Mais une rencontre avec un animal sauvage ne s’improvise pas si facilement. L’élan bouge pas mal est à cette période de l’année, il est plutôt discret. Elle nous organise donc des sorties matinales tout le long du séjour pour tenter de le voir…

S’offrir les services d’un(e) guide expérimenté(e) n’est pas du luxe. Cela permet d’optimiser ses chance de pouvoir observer des espèces rares, de bénéficier de nombreuses informations intéressantes, de conseils, d’aller aux endroits peu connus du grand public, etc. N’hésite pas une seconde si tu viens dans le coin !

Listes de guides brevetés

Le passé historique et culturel de la Pologne
et en particulier de la région que nous explorons vaut aussi le détour.
Nous découvrons donc volontiers celui-ci au détour de quelques visites…

Notre première découverte est le petit village de Korycin. On voulait de l’authentique et sortir des sentiers battus, on est servis ! Située entre la forêt primaire de Knyszyn et le Biebrza National Park, cette commune rurale se positionne sur les valeurs de la nature, de la culture et de la tradition polonaise. Les gens y sont accueillants et il y a pas mal d’itinéraires de randonnées et de vélo à découvrir.

Le soir, nous profitons de la météo radieuse pour aller nous balader
et prendre quelques photos et qui sait, observer la nature… Nous sommes plutôt chanceux !

Tu peux aussi y découvrir à proximité le Korycin-Milewszczyzna Culture Park, une sorte de centre culturel dédié aux traditions reconstruit en village fortifié du 10ème siècle.

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Le temps d’une visite, on se replonge au Moyen-Âge et on y découvre les us et coutumes d’antan. On peut y découvrir des vestiges du passé découverts lors de fouilles archéologiques, des objets qui étaient autrefois utilisés par les habitants dans leur vie quotidienne et de l’artisanat populaire.

Sans oublier le moulin à vent de 1949 ainsi que la grange au toit de chaume avec un abri pédagogique et l’atelier textile à deux chaînes, où la maître artisane Bernarda et sa fille Agnieszka présentent des chefs-d’œuvre de tissage parfaitement composés sur des métiers à tisser presque centenaires.

Les couleurs sont raffinées et montrent des motifs inspirés
de la nature et de la vie rurale de Podlasie.

A Goniądz, nous découvrons pour la première fois la rivière Biebrza. Située à peine à 5 km du Parc National de la Biebrza, cette commune est une des bases idéales pour découvrir celui-ci. On y trouve de nombreux logements et la vue sur la plaine (qui est en fait la vallée) est plutôt agréable !

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Beata nous propose une sortie en fin de journée dans une zone où on a peut-être une chance d’observer des animaux. A peine 10 minutes après le début de notre balade (et après une vingtaine de piqures de moustiques), nous avons la chance de rencontrer un rapace dont je ne me souviens pas du nom (un balbusard ou un aigle) mais également une cigogne noire ! Nous sommes des petits chanceux, pardi !

Cette sensation est vraiment agréable, je ne m’en lasse pas. J’ai toujours une grande excitation qui me traverse lorsque je peux observer un animal dans son milieu sauvage, sans le déranger.

Nous continuons notre marche pour êtres stoppés par Beata, interpellée par des traces sur le sol. Après quelques secondes d’observation, elle nous annonce avec certitude que ce sont des traces de loup fraiches. Je n’en crois pas mes yeux et mes oreilles ! « C’est sérieux ? » Dis-je la voix émue. Elle confirme…

Il y a donc des loups ici !

Nous les suivons à quelques heures… 2 ou 3, peut être une demi journée. Même si nous marchons avec discrétion et sans faire de bruit, nous sommes conscients que la chance d’en observer est quasi impossible. Mais ils sont là, quelque part, peut-être pas si loin qu’on ne le pense ! Après une dernière rencontre avec un chevreuil, un coucher de soleil balancé entre un gout de trop peu et une sensation de bonheur intense, nous rentrons nous reposer. Demain, on se lève tôt…

Le lendemain, nous nous levons en effet à 3h30 pour aller observer le lever de soleil sur le Barwik Trail.

A cette heure, nous avons toutes les chances de pouvoir observer des cerfs et même l’élan dès que le soleil se lève. Le réveille pique autant que les moustiques… ( si tu viens dans le coin, n’oublie pas un filet pour le visage, des gants pour tes mains et du répulsif). Je te jure, tu me remercieras…

Après une bonne heure de marche, nous arrivons à un belvédère sur lequel nous pouvons avoir une vue plus étendue sur la vallée. Il est 6h00 du matin et il fait froid. C’est beau, l’ambiance est envoûtante. Et qu’est-ce que c’est calme… Il n’y a pas un bruit, juste celui de quelques oiseaux qui viennent se percher à notre hauteur comme pour vérifier que nous sommes bien humains. Nous ne bougeons pas, nous observons, nous grelotons parfois. Nous sommes patients mais commençons à fatiguer. Aucun animal sauvage sera au rendez-vous cette fois-ci…

J’en profite pour te parler de mes jumelles. Ces Swarovski CL POCKET 10×25 sont d’une efficacité redoutable en mode rando. Légères (350gr), compactes et d’une qualité optique redoutable, ces jumelles de baroudeur conviennent parfaitement à l’approche et l’observation animalière. Je les adore !

C’est la nature, belle, imprévisible et indomptable.

L’après-midi nous évoluons sur les chemins de bois, une sorte de caillebotis qui nous amènent à un endroit où nous allons peut-être avoir l’occasion d’observer une espèce rare d’oiseau. Il s’agit du Phragmite aquatique, une espèce de passereau migrateur. Sa population est estimée entre 10 000 et 15 000 couples, ce qui est fort peu. En effet sa population décline en majeure partie à cause du développement de l’agriculture (aux dépens des zones marécageuses) et l’abandon du fauchage traditionnel des bords de cours d’eau, provoquant l’apparition de buissons qui ne conviennent pas à sa nidification. Ces changements font du Phragmite aquatique une espèce mondialement menacée.

Et après quelques minutes de marche, Beata entend le chant particulier de l’animal. Il est bel et bien présent et nous avons beaucoup de chance de pouvoir l’observer sur les roseaux…

Ce fait qui semble peut-être banal nous rappelle cependant que l’heure est grave car ce fait qui semble peut-être anodin nous démontre encore une fois que la nature est plus que jamais fragile et que notre empreinte a un réel impact sur celle-ci. Et quoi qu’on en pense cela n’est malheureusement qu’un exemple parmi tant d’autres qui nous démontre que la terre, ses habitants, oui nous, mais aussi la faune, la flore, se meurt jour après jour ! 

Je n’ai aucune affection pour les chasseurs mais j’adore la chanson de Michel Delpech.
Et je trouve qu’elle convient à bercer les quelques lignes qui vont suivre…

« Il était 5h00 du matin… » et avec Sam nous décidons de partir à l’affût, sans notre guide Beata qui nous avait quitté la veille. Sous ses conseils, nous nous dirigeons vers une zone du parc que nous n’avons pas encore exploré. Le soleil se lève, l’ambiance est grandiose…

Nous roulons tranquillement en voiture en faisant de nombreuses pauses avec l’espoir de pouvoir observer un élan qui semble être dans le coin ces jours-ci. Les chances sont infimes mais présentes. Le fait aussi est que c’est le dernier jour que nous pouvons tenter d’observer ce mammifère impressionnant et honnêtement, je ne le sens bien !

Je roule, j’observe, je fais demi-tour en ayant eu l’impression d’avoir vu quelque chose. Je redémarre et je continue. Nous débusquons tantôt un chevreuil, deux renards, quelques cigognes. Nous sommes gâtés et apprécions ces rencontres mais il manque quelque chose…

Après un énième demi-tour et le jour étant bien levé, j’annonce à Sam le ton fatigué et déçu qu’il ne faudra pas tarder à rentrer vers l’hôtel pour faire nos valises et continuer notre programme du séjour prévu dans une autre zone… Il acquiesce comme pour marquer la fatalité. Avant d’entamer la route du retour, nous roulons une dernière fois. J’ai les yeux fatigués rivés sur la route. Sam s’évade à

C’est alors que Sam me dit d’un ton sec : « freine, stop, recule, je crois que je l’ai vu ! »

Je fais marche arrière quelques mètres et je sens mon cœur s’emballer. J’ai sincèrement l’impression que c’est la bonne, cette-fois. Je stationne sur le côté et me tourne vers son côté, il me dit qu’il a vu une ombre dans un pré, juste derrière le buisson. Et à cet instant, il me confirme : l’animal qu’on espère voir depuis 3 jours est bel et bien là et il semble accompagné…

Nous prenons notre matériel photo et vidéo et sortons discrètement de la voiture. Il suffit d’un claquement de porte pour faire fuir l’animal, je croise les doigts pour qu’il soit toujours là quand je commence à m’enfoncer dans le buissons, puis pénétrer dans le champ. L’animal semble être derrière un petit bosquet situé au milieu du pré, je le contourne en espérant avoir un visuel. A mon grand soulagement, il n’a pas bougé. Sam avait bien vu !

Nous observons l’animal, accroupis et émus. Son regard est doux, apaisant. On se fait littéralement manger par les moustiques mais peu importe. Je filme, je prends des photos, je tremble, je suis aux anges… L’animal nous a repéré mais ne semble pas être gêné par notre présence. Il est cependant accompagné d’un petit : nous évitons donc de nous rapprocher davantage car cela pourrait devenir très dangereux.

Nous vivons un moment unique face à ce géant.
Les mots ne suffisent pas pour te faire vivre cette expérience.
Ce qui est sûr c’est qu’on l’a notre élan sauvage au milieu de nulle part en Pologne…

La vidéo

Réalisée par Fokuspokus Production

à voir aussi dans la région

  • Faire du raft (radeau) sur les eaux de la Biebrza : si tu viens dans le coin, n’hésite pas à demander où tu peux louer un raft pour naviguer sur les eaux calmes de la rivière. C’est le moyen idéal pour être complètement imprégné de l’ambiance des roseaux et qui sait, observer de nombreuses espèces plus ou moins rate. Cela fait travailler les bras, mais c’est plutôt sympa !
  • Observer la nature depuis un belvédère : voici une autre possibilité pour optimiser tes chances d’observer la nature. Equipe-toi donc de jumelles et te voilà prêt pour tenter de dénicher des rapaces, des cervidés, des renards et parfois des élans. Le parc est équipé de nombreux postes d’observation aménagés faciles d’accès et accessibles gratuitement !
  • Visiter le centre didactique et quartier général du Parc National de Biebrza : expo et ateliers didactiques toute l’année.
  • Visiter la synagogue de Tycocin : dans la ville au passé douloureux qui est devenue un lieu de pèlerinage pour la communauté juive.

Où et quoi manger ?

De manière générale, j’ai trouvé qu’on mangeait particulièrement bien en Pologne. Je te conseille la spécialité locale : le fromage de brebis aux fleurs ou épices.

Sans oublier les fameux piroguis (pierogi), une sorte de raviolis en forme de demi-cercle, le żurek (soupe à la farine de seigle aigre), les harengs aux oignons, les concombres confits au sel, les viandes et charcuteries variées, le lard fumé, le fromage blanc, etc.

  • Restaurant Trivento à Korycin : Cette adresse locale ne paie pas de mine (ni de l’extérieur, ni de l’intérieur) mais l’accueil y est chaleureux et une fois qu’on essaie de parler avec le petit monsieur, c’est un pur bonheur. C’est notre premier contact avec des Polonais et on a adoré ! La nourriture y est évidemment très bonne (et trèèèèès généreuse), sinon je ne t’en parlerais pas.
  • Restaurant Dwór Bartla à Goniądz : Situé dans l’enceinte de l’hôtel « Bartlowizna » où nous avons séjourné 2 nuits, ce restaurant réputé dans la région propose un menu varié et des plats locaux savoureux. On y a très bien mangé malgré un service parfois un peu froid. La situation est juste incroyable, la terrasse donne sur les marais de la rivière Biebrza.
  • Restaurant Karczma Rzym à Kiermusy : le restaurant situé juste à côté d’un manoir « Dworek Nad Łąkami » où nous avons logé une nuit. L’accueil est bon, la décoration est « old style » ou « bien dans son jus » et la nourriture, bien que minimaliste et traditionnelle, est délicieuse. Le petit déjeuner servis aux hôtes est juste impressionnant…
  • Restaurant Villa Regent à Tykocin : Une cuisine traditionnelle juive délicieuse et raffinée. Le service est très élégant et la carte raffinée. j’ay ai mangé du poisson cru mariné, j’ai vraiment adoré !

Où dormir ?

Durant notre séjour nous avons pu dormir dans des endroits variés, originaux et authentiques.

Le Moulin de Korycin (Korycin Mill) à Korycin : pour vivre l’expérience unique de dormir dans un ancien moulin. C’est bien aménagé, c’est propre et c’est tout mignon !

Bartlowizna, un hôtel-restaurant au confort moderne, plutôt bien situé sur les rives de la Biebrza (mais selon moi à éviter si on cherche le charme et l’authenticité).

© FOKUS POKUS PRODUCTION

Le Manoir Dworek Nad Łąkami à Kiermusy : une adresse originale dans un cadre rural et traditionnel. Le confort est assez élémentaire, mais suffisant. « Un peu comme à l’époque »… A vivre l’espace d’une nuit.

Documentation & infos

Site officiel Tourisme en Pologne
Site officiel du Parc National de la Biebrza
Parcours de randonnées balisés + carte des randos
Parcours kayaks


Cet article a été rédigé dans le cadre d’un séjour organisé et financé par l’Office du Tourisme National Polonais en collaboration avec Podlaskie Travel.
Merci à eux pour leur confiance. Mes propos restent cependant (et comme toujours) libres et sincères.

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Maxime
Je suis Maxime, l'âme vagabonde derrière les récits de « Trekking et Voyage », une oasis pour les amoureux de randonnée, les assoiffés de voyages plus ou moins lointains et les fervents adeptes du plein air. J'ai toujours été passionné des immensités sauvages, des murmures de la nature et des aventures qui transforment l'âme. Tout en étant un épicurien qui savoure la vie à pleines dents, je te partage ici mes récits et mes coups de cœur. L'idée d'être une source d'inspiration et de partage d'expériences me plait, surtout quand les mots sont choisis pour leur vérité et leur utilité. Bonne lecture ! "Happiness is only real when shared" (Christopher J. McCandless dit « Alexander Supertramp »)  

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